Dans cette méthode, les embryons se forment en laboratoire sur 7 à 8 jours, comme suit:
Jour -1: Prélèvement d’ovules et maturation in vitro (MIV) des ovocytes.
Jour 0: Fécondation in vitro (FIV) des ovocytes.
Jours 1-7: Développement embryonnaire (Culture in vitro (CIV)).
Jours 7-8: Congélation d’embryons.
Oui, il est possible d’utiliser du sperme produisant des femelles ou des mâles pour créer des embryons en laboratoire.
Les génisses montrent généralement les meilleurs taux de réussite pour le TE par rapport aux vaches laitières.
Pour les génisses, le moment idéal est lorsque leur poids atteint les deux tiers du poids adulte et leur score de condition corporelle (BSC) est supérieur à 2,5. Pour les vaches multipares, le meilleur moment pour commencer les programmes de transfert d’embryons est de 70 jours après le vêlage.
Quatre facteurs principaux contribuent au succès :
Animal receveur:
Le receveur doit être exempt de stress pendant au moins un mois avant le transfert (éviter les vaccinations, les changements alimentaires, le stress thermique, les mouvements des animaux, etc.). Leur état nutritionnel et leur Score de Condition Corporelle (BCS) doivent être appropriés.
Qualité de l’embryon:
Il est important de noter qu’à la Société Sina Fanavaran Mandegar (SFM Co.), les embryons de qualité inférieure sont rejetés et ne sont pas utilisés pour le transfert.
Compétence du technicien:
La procédure de transfert d’embryons doit être réalisée par des individus ayant une expérience suffisante dans ce domaine, et non pas simplement en insémination artificielle.
Conditions environnementales appropriées:
Des installations adéquates pour déplacer et maîtriser les animaux le jour du transfert d’embryons, ainsi que des conditions météorologiques favorables, sont cruciales pour un transfert d’embryons réussi.
Les génisses croisées et indigènes, à condition qu’elles soient en bonne santé et bien nourries, font partie des meilleurs receveurs. Si les agriculteurs ont besoin d’acheter des animaux receveurs pour un transfert d’embryons, ils devraient sélectionner ceux qui conviennent le mieux à leur région spécifique. Idéalement, l’utilisation d’animaux élevés sur la ferme depuis la naissance est la meilleure option, car leur âge, leur état nutritionnel, leur historique de vaccination et leurs dossiers de vêlage sont bien documentés.
La quantité de vaches receveuses est directement liée au nombre d’embryons demandés. Spécifiquement, pour les transferts d’embryons congelés/décongelés, la société SFM Co. recommande généralement un ratio de 2:1 de vaches receveuses par rapport aux embryons.
Un surplus de vaches receveuses est conseillé car tous les animaux ne répondent pas de manière optimale au programme de synchronisation. L’équipe spécialisée en transfert d’embryons de la société SFM Co. identifie et sélectionne les vaches les plus réactives le jour du transfert pour garantir des taux de conception optimaux. Cette approche proactive garantit que suffisamment de receveurs appropriés sont disponibles au moment crucial.
Les vétérinaires expérimentés de chez SFM Co. effectuent une échographie de détection de la grossesse 30 jours après le transfert d’embryons.
Les génisses de plus de 10 mois, ainsi que les vaches en lactation et les vaches sèches, peuvent être utilisées pour le prélèvement sonographique d’ovocytes (OPU). Cependant, les génisses ayant des réserves ovariennes adéquates sont prioritaires.
Généralement, une vache donneuse peut être fécondée un mois après le dernier prélèvement d’ovocytes.
En général, environ 50 embryons par an peuvent être produits à partir d’une génisse d’élite. Cependant, ce nombre peut varier en raison de différences individuelles dans les réserves ovariennes des vaches.
Généralement, une vache ou une génisse peut être utilisée pour la production d’embryons de FIV tout au long de l’année, à l’exception de la saison estivale. Cependant, cette période peut être réduite pour éviter tout dommage potentiel.
Généralement, non. Cependant, cela est possible dans les cas où la ferme laitière du client est proche de l’emplacement de l’entreprise.
Dans ce processus, une quantité très limitée d’hormones (eenviron 10 % des hormones nécessaires dans la méthode traditionnelle de prélèvement d’embryons) est utilisée. Par conséquent, les effets secondaires liés aux hormones tels que les kystes ovariens sont considérablement réduits.